Fin de semaine

Publié le par Martin et Léa Gauthier

Le 16 novembre 2009

 

14/11/09

Voila notre premier reveil à Ica, on commence notre matinee par un changement d’hotel pour en trouver un davantage a notre standing… Puis, on file sur Internet pour vous conter nos exploits et on finit par aller se ravitailler avant une apres midi de reve.

 

On cherche un peu ce qu’il y a d’interessant à faire dans Ica et on nous parle d’un oasis à 5 kilometres du centre ville. On prend donc un taxi pour aller voir de quoi il s’agit et voila sur quoi nous tombons :

 


 

 

 

 

 

Des peruviens tentent de nous emmener faire une ballade en 4*4 avec surf et luge de sable garantis mais nous preferons la quietude de l’oasis et on decide d’en faire le tour.

En chemin, on rencontre Juan, un monsieur d’une soixantaine d’annee qui aborde Lea en la questionnant sur l’atelle etrange qu’elle porte au genou et nous voila partis pour discuter un bonne demi heure avec lui…

Ce viel homme passionne et qui nous apparait meme comme un peu possede nous conte, avec une voix douce et lente, la fabuleuse histoire des trois cites Incas… Machu Pichu, Choquequirao, et… Une troisieme… Dans cette troisieme cite, decouverte depuis peu et pas encore accecible aux gringos, s’y cache probablement l’or des Incas….. Ouuuuuh…..  

 


Treve de balivernes, nous filons arpenter les hauteurs des dunes et nous nous ressourcons dans l’eau chaude et presque limpide de l’oasis. Puis nous  passons de bons instants à l’ombre en tentant d’ameliorer notre espagnol…

 




De retour dans la chambre desuette de notre petit hotel, on delire dans un premier temps puis discute plus serieusement de nos futures aventures dans un deuxieme…

Par la suite, nous sortons decouvrir la nuit Icasienne. Rebutes par le prix trop eleve d’un concert de musique Andine, on se retrouve, malgre nous, à siroter du Pisco Sour dans les bars bien caches de Ica.

Petit tour de ville puis petit dodo…

 



 

15/11/09

Au reveil, nous nous activons et faisons nos sacs, direction Nasca…

Et là, c’est le drame !!! On s’apercoit, depites qu’on a perdu nos deux premiers biens… Lea a oublie, dans l’hotel de la veille, son jogging noir et Martin la petite lampe de poche …

Un partout (1-1) … Balle au centre…

 

S’en suit un voyage tranquille et sans encombre, nous voila à Nasca…

 

On trouve rapidement un charmant hotel qui comvient parfaitement a nos exigences du moment et on part errer dans les rues de Nasca…

 

Les photos temoignent mieux que nos mots…


 



 

 

 

       


Cette ville est tres agreable, presque silencieuse et les habitants y sont tres accueillants

La nuit tombe, apres un repas dehors, partage avec la population, on prepare notre journee de demain et on se rentre a l’hotel…



 

16/11/09

Si la journee de la veille fut silencieuse, on ne peut pas en dire autant de la nuit à l’hotel… Reveillles dès quatre heure du mat,  on emerge à 7h30 pour prendre l’avion………..

Et oui, c’est notre journee de toutes les folies !! On va survoler les lignes de Nasca !!

 


 

 

 

Découvertes en 1939 par Paul Kosok, les lignes de Nasca sont de grandes figures tracées sur le sol, zoomorphique et geometrique, parfois longues de plusieurs kilomètres  se trouvant dans la pampa San José, le désert.. Ces lignes sont le fait de la civilisation Nasca, une culture pré-incaïque du Sud du Pérou qui se développa entre 300 av. J.-C. et 800 de notre ère.

Enigme majeure de notre temps, de nombreuses hyotheses ont ete emises quant à leurs significations, piste d’atterissage pour vaisseaux spatiaux extraterrestres, plus grand calendrier astral du monde, rituel du culte de l’eau... Ou apres tout, peut etre que les Nascas se faisait royalement chier dans leur desert !! Ca c’est notre theorie...

(sources : wikipedia et petit futé Perou)

 









Apres un vol tumultueux d’une bonne demi heure, l’avion aterri pour le plus grand soulagement de Lea qui a retenu bien au chaud tout son petit dej pendant une grande partie du vol !!



A peine remis de nos emotions et de notre mal de ventre, on va visiter des sepultures Incas, Nascas et autres peuples de jadis, on enchaine par la demonstration de l’extraction de l’or et la fabrication des ceramiques typiques de Nasca...

 

 

 

 

 

 


                                      


Le ventre plein et accables par une chaleur etouffante on vient se refugier, ici, au cyber pour profiter de l’ombre...

Rendez vous à Arequipa...


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A
<br /> J'ai appris que l'essentiel dans la vie, ce n'est non pas d'être fort, mais de se sentir fort . Et le but ce n'est pas d'allez le plus loin mais c'est<br /> le chemin pour y arriver.<br /> <br /> <br />
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L
<br /> Aussi furtivement lancée soit votre théorie, elle n'en perd pas sa crédibilité. N'est-ce pas Pascal qui justifiait certaines actions des hommes par un besoin de<br /> divertissement ?<br /> <br /> "Un homme qui a assez de bien pour vivre, s’il savait demeurer chez soi avec plaisir, n’en sortirait pas pour aller sur la mer ou au siège d’une place. (...) on ne recherche les conversations<br /> et les divertissements des jeux que parce qu’on ne peut demeurer chez soi avec plaisir."<br /> il parle du "malheur naturel de notre condition faible et mortelle, et si misérable, que rien ne peut nous consoler, lorsque nous y pensons de près."<br /> <br /> « Rien n’est si insupportable à l’homme que d’être dans un plein repos, sans passions, sans affaire, sans divertissement, sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son<br /> insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide. Incontinent il sortira du fond de son âme l’ennui, la noirceur, la tristesse, le chagrin, le dépit, le désespoir. »<br /> <br /> En fait, ces quelques citations de notre cher blaise sont parfaitement illustrées par 2 personnages que vous commencez à bien connaître : Gogo et Didi, dans En attendant Godot ! Leur ennui<br /> est la cause de toutes ces activités qu'ils entreprennent, dénuées de sens et d'intérêt. Gogo et Didi ne font qu'attendre, chargés du fardeau de l'ineluctabilité de la condition humaine, voilà tout<br /> ! <br /> <br /> Vos Nascas n'étaient donc que de pauvres humains ayant saisi l'insignifiance de leur existence, et l'ineluctabilité de leur condition, qu'ils ont tenté d'oublier en cherchant le divertissement dans<br /> le dessin, comme remède à l'ennui, cet ennui si tragique qui force le constat...<br /> <br /> <br />
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M
<br /> La t'eleve le niveau du debat, on ne fais que s'en rejouir... Tu surf avec dexterité sur une deferlente de bonté et de grace...  Merci !!<br /> <br /> <br />
C
<br /> Heyyyyyyyyyy... La suite........... Vous reposez pas sur vos lauriez! Non mais j'allucine, du genre on mets trois photo.. et listo!! Non mais c'est pas possible cha!!!<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Mais va voir les albums... Dans Nasca, il y a plein de tofs... La t'es plutot chou mou que che dur...<br /> <br /> <br />
J
<br /> Jai été voir ske c t les ligne de nazca, et jpench komm vou pr un comblage de temps libre !!!!!<br /> bizouz a vous et jatten avek impatience de savoir ki de vou deux va prendre lavantage dans votre ' !gauthier's fight'  !!!c_j<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Merci man, à notre retour, on ecrit une these, y a du ble à se faire !!<br /> <br /> <br />
L
<br /> je dirai même plus :<br /> Nemo auditur propriam turpitudinem allegans<br /> <br /> <br />
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M
<br /> Tu sert à rien, ca veut die la meme chose !! Trouves en un mieux...<br /> <br /> <br />